Bonjour Iaorana,
La discussion peut continuer.
Cordialement
Bonjour à tous,
En mai 2019 j'ai été informé que j'aurais occasionné avec mon véhicule un accrochage avec une voiture stationnée. Il y avait un témoin oculaire laquelle a signalé à la police mon passage. Je suis affectivement passé à l'endroit indiqué avec mon véhicule, un camping-car poids lourd de 6 tonne suivi par une remorque courte transversale portant un scooter.
J'ai tout de suite contesté n'ayant aucune marque ni sur mon camping-car ni sur la remorque. J'ai demandé à mon assurance une expertise pour la levée de doute, celle-ci ne m'a pas été accordée (je suis à cette assurance depuis 50 ans !).
Mon assurance a décrété, sans voir mon véhicule, que le témoignage oculaire était bien recevable, que la déclaration d'accident par la proprétaire était conforme et que j'étais bien responsable de cet accrochage malgré ma contestation et ma bonne foi !
Entre temps j'ai retrouvé par chance le véhicule accidenté avant réparation et j'ai pris des photos. Ce véhicule est rayé profondément, l'aile avant droit est enfoncée et un gros choc a eu lieu en bas de caisse. Il est impensable que n'ayant pas de trace de choc, ni sur mon camping-car ou la remorque, j'ai pu causer ces dommages sans avoir la moindre de trace ou arrachage de garniture moi-même.
J'ai protesté et porté cette affaire au niveau de la direction de mon assurance qui a accepté de reprendre le dossier. Une expertise m'a été accordée mais l'expert (pas très expérimenté en apparence) est venu voir mes véhicules sans les documents de référence du dossier (témoignage occulaire, constat d'accident, rapport de l'expert de l'assurance adverse, photos du véhicule accidenté) et au lieu de porter son attention sur la remorque, incriminée dans le témoignage et la déclaration d'accident, sur laquelle il n'a rien relevé, s'est focalisé sur trois éraflures du parechoc arrière qui nécessitent une loupe pour les observer, pour conclure que c'était bien la preuve de l'accrochage ! On est dans une histoire de fous. Je conteste cette expertise et je demande une tierce expertise, de viveau 2 pour que celle-ci confirme que je ne peux être à l'origine de cet accrochage. Celle-ci devrait m'être accordée mais payable à moitié !
Par ailleurs, je porterai plainte pour faux témoignage et fausse décaration d'accident.
Le témoignage oculaire ne me semble pas sincère et je soupçonne une communauté d'intérêt entre ces deux personnes voisines qui habitent à moins de 30 mètres l'une de l'autre. D'ailleurs le constat d'accident débute ainsi '' ma voisine est venue me dire". Le voisinage peut-il être une cause retenue pour communauté d'intérêts pour invalider un témoignage ?
Je compte sur cette nouvelle expertise à venir
Que puis je faire de plus ?
Merci à l'avance pour vos réflexions et éclairages.
Dernière modification par Iaorana ; 19/11/2019 à 14h29.
Bonjour Iaorana,
La discussion peut continuer.
Cordialement
Dernière modification par Animateur Communautaire ; 26/11/2019 à 09h18. Motif: typo
Membre du Conseil Communautaire du Forum de Net-iris
Bonjour.
c'est un cas qui se produit parfois. Tant que la compagnie d’assurances n'a pas d'éléments probants qui contredisent une déclaration et un témoignage lors d'une déclaration de sinistre, elle applique les règles applicables. Ces règles s'appliquent que vous soyez client et automobiliste depuis 50 ans ou depuis quelques mois seulement.
J'ai été "victime" de la même chose il y 5 ou 6 ans. Je n'ai rien pu faire et ce malgré avoir été mon propre assureur m'étant vendu le contrat automobile à moi-même !
Transmettez tout de même à votre assurance votre déclaration avec votre version des (non) faits et la copie du dépôt de plainte, on ne sais jamais.